Bouchon Lyonnais Pralyon
Service non stop 11 h 30 - 22 h 30
Salle du bouchon lyonnais
Pralyon, bouchon lyonnais

BOUCHON LYONNAIS PRALYON

Le bouchon lyonnais Pralyon travaille avec des éleveurs, agriculteurs et producteurs de la région Rhône-Alpes Auvergne afin de privilégier les circuits courts dans le respect de notre environnement.

Vous pourrez déguster toutes les spécialités lyonnaises : les quenelles, la salade lyonnaise, le saucisson chaud brioché, la cervelle de Canut, la rosette de Lyon, le tablier de sapeur, l’andouillette, le Saint-Marcellin, la tarte à la praline rose…

Nos talentueux cuisiniers, passionnés de gastronomie lyonnaise, mettent tout leur savoir-faire pour cuisiner de bons plats faits maison avec des produits frais et locaux. Ils mettent un point d’honneur à travailler uniquement des fruits et légumes de saison.

Situé au coeur du Vieux Lyon, sur la place du Gouvernement, nous vous accueillons chaque jour en service continu de 11 h 30 à 22 h 30.

LES MERES LYONNAISES

La cuisine lyonnaise doit sa renommée aux cuisinières des maisons bourgeoises qui étaient appelées « mères » et qui, peu à peu, ouvrent leurs propres restaurants. La plus célèbre est Eugénie Brazier qui s’est installée en 1921 dans la rue Royale.

Au début, elles accueillaient essentiellement les ouvriers de la soierie qui venaient « mâchonner ». Puis, la clientèle s’élargit et la réputation de leur cuisine grandit.

Dans ces bouchons lyonnais, sont servis des plats élaborés avec les produits provenant des alentours :  volailles de la Bresse et boeuf du Charolais, gibiers et poissons de la Dombes, vin du Beaujolais. La charcuterie et les salaisons appelées cochonnailles proviennent des  élevages du Monts du Lyonnais.

La cuisine lyonnaise est née et Lyon devient la capitale de la gastronomie !

BOUCHON LYONNAIS

Vous souhaitez déguster d’authentiques spécialités lyonnaises ? Vous êtes au bon endroit. Le bouchon lyonnais Pralyon vous attend. Mais, au fait, savez vous d’où vient l’origine du mot « bouchon » ?

Au 19ème siècle, les cabaretiers avaient pris l’habitude d’accrocher une botte de rameaux sur leur porte en guise d’enseigne appelée « bousche » en patois lyonnais.

Cette époque est également celle des Canuts : les ouvriers tisserands de la soierie lyonnaise. Les ouvriers de levaient tôt et faisaient une pause en milieu de matinée. Ce casse-croûte était constitué de cochonaille et de Beaujolais et se déroulait dans de petits bistrots appelés « mâchons ».

Ces « mâchons » sont devenus des bouchons lyonnais.